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Des solutions fondées sur la Nature : une ambition à inscrire dans la loi Climat et résilience – L’exemple de Rivières Sauvages

 

Alors que la loi Climat et Résilience est en débat et que l’on célèbre, ce 22 mars, la journée mondiale de l’eau, le programme « Rivières Sauvages » qui a fondé son action sur une conception innovante de la conservation, pourrait bien être une source d’inspiration. Retour sur un programme qui fait la part belle à la préservation de la biodiversité tout en ménageant les deniers publics.

Préserver le 1 % des rivières encore sauvages en France et en Europe via un label partagé par tous et toutes, voilà le programme que se sont fixées les Rivières sauvages. Sous cette dénomination, l’Association du Réseau des Rivières Sauvages (ARRS) présidée par Marie-Pierre Medouga et le Fonds pour la Conservation des Rivières Sauvages (FCRS), présidé par Martin Arnould conduisent, dans le cadre d’un programme participatif et ouvert, des actions de préservation de la biodiversité bien appropriées dans les territoires ruraux. Aujourd’hui, près de 10 ans après leur création, les Rivières sauvages totalisent 29 rivières labellisées, avec des actions concrètes de protection d’un certain nombre d’espèces en danger telles l’Ecrevisse à pattes blanches, l’Osmonde royale, le lynx, le Sonneur à ventre jaune, le Cincle plongeur, la Loutre d’Europe, le Rhinolophe euryale et le Grand rhinolophe en ne citant que ces exemples.[1]

Les solutions fondées sur la nature : l’exemple des rivières sauvages

Des écosystèmes, régulateurs du climat

Des projets environnementaux bons pour l’économie tout autant que pour l’environnement (et la santé)